A mon avis, la religion en laquelle on croit, si on y croit, n’a pas d’importance. Nous ne sommes que des enfants aux yeux de Dieu, en tant qu’enfants, il nous est permis de faire des erreurs, de jouer, de nous rebeller et de ne pas croire. Tant que l’on fait ce en quoi l’on croit et dont on pense que c’est la chose juste à faire (peu importe ce dont il s’agit), alors on est bien considéré.
Tim, experiencer
Mon vrai défi était de m’accrocher à mon but. Lorsque vous percevez la vie et ses nombreux défis comme un test, vous commencez à voir ces défis comme des occasions de grandir. J’ai commencé à prendre des décisions basées sur la croissance personnelle plutôt que sur la nécessité ou la peur. J’ai réalisé que les miracles comme ceux que j’avais vécus n’étaient pas nécessaires pour effectuer des changements. On doit avoir une dose de foi, la volonté de se faire confiance et s’engager à essayer quelque chose de nouveau. Nous sommes destinés à grandir mentalement, physiquement, émotionnellement et spirituellement. Si vous êtes convaincu que le changement est mauvais, vous empoisonnez votre futur. Rappelez-vous que ’si vous continuez de faire ce que vous avez toujours fait, vous allez recevoir ce que vous avez toujours reçu.’ Alors, persévérez.
J’ai donc intimement vécu le « savoir » selon lequel je fais littéralement partie des pensées de la Source, l’illusion que j’en suis séparée est un don de la Source pour elle-même, afin que la Source puisse totalement explorer sa propre personnalité et sa créativité.
Ca peut être ça, si c’est ce que tu veux que ça soit. Ca peut aussi bien être l’Enfer, c’est ce que tu crois. Cette réalité est une extension de toi, qui se forme et se concrétise rapidement. Nous créons toujours notre propre réalité, quel que soit l’endroit où nous nous trouvons car nous sommes tous co-créateurs.
C’est une chose qui doit vraiment changer, l’idée que les gens ne peuvent travailler que s’ils sont relativement dans des cages mentales. Quand cela a-t-il commencé, je l’ignore, mais c’est vraiment un péché. Les gens doivent vivre et travailler, pas travailler pour vivre. Cette vie sur terre n’a pas été faite pour vivre ainsi que nous le faisons maintenant. Nous avons structuré la vie hors du fait de vivre.
J’ai aussi réalisé que chacun d’entre nous est ici intentionnellement, pas accidentellement, que chacun joue un rôle qui modèle cette réalité partagée. Lorsque je prie, je sais que ma prière est entendue, toutes les prières le sont. Cette forme de communication est la plus élevée.
Il est vraiment important de survivre à nos tendances humaines au suicide jusqu’à l’achèvement naturel de nos vies physiques. Nous sommes ici littéralement pour apprendre à nous survivre.
Bien que je ne sache rien, j’ai pourtant beaucoup à désapprendre.
Quand on agit, ce n'est ni le où, ni le quand, ni le comment ni même le pourquoi qui compte. Ce qui compte, c'est ce qu'on ressent.
Nous, les expérienceurs véritables, le vrai message que nous rapportons, si message à rapporter il y a (et à vrai dire ce n'est pas le cas), n'est pas de dire que la mort n'existe pas! En tout cas, personnellement, je ne ramène pas ce message-là, et n'ai pas envie de vous convaincre que la mort n'existe pas.
Personnellement, je reviens avec la conclusion que la VRAIE vie, la vraie REALITE, ce n'est pas ce qui nous détruit à petit feu dans ce monde, c'est-à-dire notre égoïsme, notre aveuglement, notre violence, et notre manque absolu d'amour pour toute créature vivante, et je ne parle pas que de l'être humain.
Ce qui est réellement important, ce sont les valeurs morales qui nous échoient après une telle expérience. Ce sont elles qui font de nous des parias de la société et parfois de la race humaine telle qu'elle se développe aujourd'hui.
Pour dire la vérité, je ne souhaite pas que l'on prouve un jour de manière scientifique que la mort n'existe pas.
Parce que l'homme est un enfant qui joue avec les allumettes et met toujours le feu à sa propre maison. Si un jour on prouve que cette grande épreuve n'est rien, alors que restera-t-il pour arrêter l'escalade de la violence et des crimes? Que restera-t-il à l'humanité comme garde fou ?
Aucun.
Tant que l'on ne saisit pas que ce qui est réellement important c'est de vivre le plus justement sa vie, d'être le plus possible un être de paix, de respect et surtout d'amour, autant que nous le pouvons, en essayant de toute notre volonté et force, alors nous ne méritons pas cette libération de la peur de la mort.
La règle ou le concept que j’ai appris ensuite, c’est que l’existence de Dieu ne pourra jamais être prouvée par des moyens scientifiques. Ce serait corrompre l’environnement. Cela détruirait la foi. Lorsque nous avons la foi nous cherchons, nous apprenons. Si Dieu devait apparaître devant nous aux Nations Unies comme un être immense, le monde entier croirait, mais il vivrait également dans la peur. Pour réussir à vivre l’existence humaine, il faut être physiquement hors de portée de Dieu. Il nous faut apprendre et chercher seuls. Nous devons rechercher le sens de notre propre existence et la vivre ici sur terre. La foi est le moteur de la découverte. Sans foi, nous ne serions pas davantage que des fourmis.
J’ai appris pourquoi de mauvaises choses arrivent à des personnes bonnes. Si rien de mal ne nous arrivait jamais, nous serions fondamentalement tous les mêmes. C’est comme du métal dans une forge, il faut le chauffer et le frapper à coups répétés pour en faire un outil intéressant. Nous démarrons cette vie avec une feuille blanche. A chaque incident que nous vivons, une partie du croquis est tracé, jusqu’à ce qu’un plan complet de la personne soit créé. La fin de nos vies est dictée par ce croquis. Vivre joyeusement dans ce royaume, c’est prendre conscience de ce croquis et le modifier. Enfin, le temps n’est qu’un concept que nous mesurons ici. Dans l’autre royaume il n’existe pas. Ainsi, bien que nous puissions vivre de la douleur et du chagrin sur terre, il ne s’agit que d’une seconde dans le grand plan des choses. Nous avons une éternité à vivre, en réalité les âmes ne meurent jamais. Notre vie n’est qu’une pensée fournissant les conditions de cette existence. A mesure que l’âme progresse, ce traumatisme est oublié et replacé dans de bonnes perspectives en tant que partie du processus d’apprentissage.
J’ai eu la réponse a l’une des questions que je m’étais personnellement toujours posées : « Les fantômes existent-ils ? ». La réponse qu’on m’a fournie a été : « Oui, dans le corps humain existent deux formes d’être spirituel. Le premier c’est « l’âme » qui est l’être spirituel ayant une relation symbiotique avec le corps physique. Le second c’est l’être créé par la biologie du corps humain. Cet être est intelligent, il constitue fondamentalement la personnalité de l’individu. Son utilité est de subvenir aux besoins de l’humain en ce qui concerne la nourriture, la survie, la procréation. C’est un concept très similaire à celui de Freud (le ça, le moi et le surmoi), la séparation de l’esprit et de la personnalité. L’âme nous fournit toutes les choses qui différencient la personne du Règne Animal. Il s’agit de la capacité à raisonner, à utiliser la logique, ou à éprouver de la révérence en voyant un coucher de soleil. L’âme est la partie créative de l’humanité. Le deuxième être est davantage notre côté animal et nous pousse à accomplir ou rechercher des choses qui satisfont nos besoins et nos désirs.
Lorsque nous mourons, l’âme se sépare et progresse vers l’au-delà (pardonnez-moi de tout simplifier). L’entité du corps meurt, emportant avec elle les émotions fortes, « les bagages » et inclinations des êtres humains. C’est une partie naturelle du processus de la mort. Lors de morts violentes ou soudaines toutefois, cet autre/être, un meilleur terme me fait défaut, n’a pas l’opportunité de mourir. Au lieu de cela il reste en arrière en tant que tendances, émotions et motivations de notre esprit. Cet être corporel, dépourvu des orientations de l’âme, n’est fondamentalement qu’une enveloppe. Il erre sans but . Il répète souvent les actions qu’il a accomplies auparavant, les souvenirs sont en effet les seules « orientations » dont il dispose. Avec le temps, l’énergie de cet être se dissipe et il n’en reste rien. Mais ce processus peut durer longtemps. C’est pourquoi il existe des « fantômes » qui hantent des maisons ou une personne. Le coeur de l’existence d’un fantôme, c’est la période où il était avec le corps humain et l’âme. Ici sur terre, il reste jusqu’à ce qu’il finisse par disparaître. Il est possible de communiquer avec un fantôme et de le guider, il n’a cependant pas de volonté propre si ce n’est celle des habitudes.
La matière est une energie condensée en une vibration lente, alors nous sommes tous une conscience qui s'eprouve subjectivement. IL n'y a rien comme la mort.
L’âme céleste, en elle-même, est pure et innocente, mais elle est incapable de développer les multiples qualités dont elle est virtuellement capable : afin de mûrir, il lui manque un complément, que seule la matrice terrestre peut lui fournir. Avant d’être une nécessité métaphysique, le cycle de la vie terrestre est, si l’on peut dire, une nécessité physiologique : la part terrestre de l’être humain renferme, quoiqu’en excès, des ingrédients dont l’assimilation est indispensable à la croissance de l’âme céleste et au développement des qualités proprement humaines (c’est-à-dire ’divines’) qui pourront transmuter sa substance.
Qu’une réalité soit objective signifie, fondamentalement, qu’elle présente une stabilité suffisante pour être abordée de manière expérimentale, dans l’idée d’en dégager des lois générales et des principes de conduite.
De sa première naissance au terme du cycle, l’âme dispose ainsi d’une durée déterminée au cours de laquelle elle dispose de tous les ingrédients nécessaires à son perfectionnement – à charge pour elle d’en faire bon usage. L’état de l’âme au terme de chacune de ses vies particulières détermine les circonstances dans lesquelles elle se trouvera placée pour amorcer sa vie suivante.
Cependant, pour être mené avec constance et aboutir à la maturation harmonieuse du soi, ce travail de perfectionnement de soi réclamerait des facultés hors du commun, excédant les forces d’un individu normal, s’il ne pouvait s’alimenter à une source d’énergie spéciale, d’origine transcendante. En cultivant en soi le sentiment d’une entité infiniment bienveillante, omnisciente et omnipuissante (« Dieu », « La Source », « le Créateur »…), en tâchant de se représenter sa présence et son soutien au moment de prendre une décision.
On ne resiste pas à la convergence de la foi et des actes.
Sans prise de conscience, sans travail sur soi, nous sommes condamnés à reproduire ultérieurement nos identifications d'enfant. Parfois à notre insu. Certains ont choisi de faire tout le contraire de leur famille. Malheureusement, vivre le contre-scénario, c'est encore vivre en fonction du scénario. Prendre le contre-pied, ce n'est pas accéder à la liberté d'être soi-même, c'est agir à l'inverse en étant constamment dans la comparaison. L'aventure d'une vie humaine, c'est avant tout l'aventure de la conscience. Plus nous devenons conscients, plus nous devenons libres. Plus nous choisissons notre vie au lieu d'obéir à nos programmations, plus nous épanouissons notre être unique, indépendant, autonome. Plus nous sommes épanouis, plus nous épanouissons les autres.
C'est nous qui choisissons dis-tu cher Shyver?
En effet, si tellement imprescriptible, en moi, le souvenir de CE jour, où, dans la salle d'attente
de l'entrée en l'existence, à J-1 ; DIEU me convoqua et me demanda si je consentais
à être précisement Ce que je suis... là, maintenant, aujourd'hui.
Si le télescopage des temps paraît paradoxal à notre pauvre et dérisoire raison,
tu es bien plaçé il me semble, cher Shyver,
pour savoir que la demeure de DIEU est l'intemporel.
A cette divine sollicitation, ai de toute mon âme, de tout mon coeur,
de tout mon sang, de tout mon souffle acquiescé. Tu parles d'une aubaine !
AINSI AI-JE ’ CHOISI ’
- mes gènes ce qui me causa par la suite quelques opportunes maladies,
mais bon, c'était mon ’choix’ non?
- mes parents: un père inconnu et une mère passagère.
- mon éducation: de grâce n'en parlons pas!
- mon caractère, ainsi ai-je "choisi" d'être insensible à la souffrance animale,
d'être vindicatif, jaloux, envieux, paresseux, et bien d'autres choses inavouables!
Mes états d'âmes, mes sentiments étaient, comme il se doit, à mon entière discrétion.
Et voilà que vivant ’ma’ vie, un jour, comme ça, au débotté, ai "choisi" de me poser
la question suivante: ’hé mec t'es satisfait d'être scotché à l'individualisme
et à la séparation?’ ai ’choisi’ de dire non, because n'acceptai que la partie
féerique de la vie et refusai sa part ténébreuse - faut dire pour être honnête
que n'ayant pû goûter aux joies de la richesse matérielle, m'enchantai l'accès
à la richesse spirituelle, honnie soit la Pauvreté! -
Alors en deux temps trois mouvements et quelques secondes, ai ’choisi’
de m'éveiller à la plénitude de la Vie...grand mal me pris, car, tombant par hasard
sur la phrase ô combien célèbre de l'héllène:" connaît toi toi-même" ai ’choisi’
de m'abreuver de tout ce qui permettrait la dite connaissance de soi;
et de fil en aiguille, de chat en botté, au gré de ’ma’ fantaisie,
ne voilà-t-il pas que je découvre, stricto sensu, que j'étais à coté de la plaque,
à ’vouloir’ à tout crins, défendre ’ma’ petite entreprise égotique
et last but not least, que JE SUIS (inébranlable certitude) mais que
je n'étais pas...MOI! cela a été la goutte d'eau qui a mis le feu aux poudres
de mon esprit! abracadabrantesque révélation!
Or donc CELA qui gouverne le soleil, les étoiles, la nature, gouverne AUSSI
’mes’ pensées, ’mes’ sentiments, ’mes’ actions? et que la vie fonctionnait
sous embrayage automatique...et moi qui ’croyais’ passer les vitesses.
nucléaire explosion en ma chétive raison !
Alors si par ’mon’ action j'affecte, par exemple, l'animal en détruisant son territoire -
ce qui est réel et tangible- l'illusion venait du fait que je ’me’ pensais
l'auteur de mes actes, cependant qu'en réalité, c'est CELA qui ’tire les fiçelles’
et farceur s'amuse à ’me’ laisser croire que je suis...le boss de ’ma’ vie,
genre, ’je prends ma vie en main’...Effrayante, infâme situation!
Loin de conduire ’ma’ vie je ne faisais que...la suivre, comme si, je connaissais
mon destin par COEUR! et que, certes, si je sentais que je choisissais et
que je voulais il n'en demeurait pas moins...que je choisissais de...l'imposé
et que je voulais...de l'inévitable!
Cette prise de conscience avait de quoi ébranler les colonnes de ’mon’ univers;
Ce qui se produisit.
Et me voici aujourd'hui en l'hopital psychiatrique « saint bonnaventure » de Burundja.
Si par hasard tu passes dans le coin, viens me rendre visite, tu n'auras
qu'à demander dieu - c'est le nom que les psychiatres m'ont donné -
Figure- toi que ce soir,désirant clavarder avec toi cher Schyver
ai demandé au psy, la clé de la pièce où se trouve l'ordi, et il m'a répondu
" puisque t'es dieu, t'as pas besoin de clé!"’
mais bon sang d'eucalyptus c'est ben vrai...et me voilà...’
étonnant non?
L'expérience était sans aucun doute réelle. Maintenant, je la comprends et elle m'a permis de construire une vision de la pensée et du corps: le cerveau est un émetteur-récepteur et la pensée une sphère de pensée universelle. Chaque personne suivant ses capacités et la qualité de son cerveau se situe sur un point de la sphère et est donc sensible différemment en fonction de l'endroit où il se trouve par rapport au centre, endroit de vision globale et équilibré des pensées universelles. Il manque à la recherche dans ce domaine la notion de magnétisme.
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